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Les conseils d’Au Bon Sens pour soutenir son système immunitaire

Pour améliorer sa santé au quotidien AU BON SENS vous propose quelques conseils… de bon sens !
 

Mieux vaut prévenir que guérir

L’hygiène de vie au quotidien

Au risque d’enfoncer une porte ouverte, nous le répétons : l’hygiène de vie au quotidien est primordiale pour maintenir l’état physiologique.

Rien ne remplace une alimentation équilibrée, un environnement sain et aéré, un sommeil régulier de préférence nocturne, une activité physique adaptée au caractère de chacun et un équilibre psychologique. Les maladies et infections devraient résonner comme des sonnettes d’alarme et le retour à un rythme de vie plus sain peut produire des résultats spectaculaires.

D’une façon générale, c’est le terrain qui est propice aux maladies et il est impossible d’améliorer sa santé durablement sans soigner le contexte global.

 

Stimulation du système immunitaire

Le bon fonctionnement du système immunitaire peut être soutenu par des cures saisonnières aux changements de saison (spiruline, gelée royale, plasma de Quinton) et par des apports réguliers de vitamines, oligo-éléments ou minéraux dont nous manquons souvent (zinc, cuivre, magnésium, vitamine C).

 

Le bon sens

Il permet d’éviter un certain nombre de rhumes : se laver les mains, éviter au maximum les endroits remplis de monde et peu aérés, se couvrir la gorge, supprimer les échanges de salive en évitant de boire aux mêmes bouteilles ou de se prêter les couverts à table (dans le cas du french kiss, chacun mesurera le rapport bénéfice/risque…).

 

Le moral

Même si toutes les causes sont mal connues, les conditions mentale et morale sont essentielles pour le maintien de la santé en hiver. S’il n’existe aucune solution miracle pour oublier la fatigue, le surmenage et les tensions de ce monde hostile, il est indispensable de les limiter au quotidien en réservant des moments coupés du bruit et des écrans.

 

Recommandations de base quand il est trop tard

Il est trop tard, la maladie est là, bactérienne ou virale : autant en profiter pour renforcer son système immunitaire afin de ne pas subir les prochaines infections.

 

Accompagner toutes les défenses du corps

La fièvre n’est pas un symptôme, c’est une réaction bénéfique du corps contre la maladie : elle seconde le système immunitaire et n’est pas toujours mal tolérée (un enfant peut monter jusqu’aux 40ºC de fièvre sans se réveiller la nuit).

La fièvre et la convulsion fébrile peuvent être impressionnantes et provoquer la panique, mais elles sont généralement salutaires. Dans le cas des rhumes hivernaux, la fièvre doit être surveillée (la fièvre bactérienne ou virale ne monte pas au dessus des 41ºC) et accompagnée pour le confort du malade (bain chaud, gant froid sur la tête, hydratation, cataplasme d’argile) mais jamais coupée brutalement avec des antipyrétiques [2].

Il en est de même pour les autres défenses naturelles du corps : toux, diarrhées, vomissements, éliminations des déchets. Les mélanges Doliprane®, Smecta® et Primpéran® dès la moindre gastro sont de très mauvaises habitudes qui ne permettent pas au corps de se défendre naturellement et qui diminuent les résistances sur le long terme. Il est indispensable de les supprimer de notre quotidien et d’arrêter d’engraisser les laboratoires pharmaceutiques.

 

Adaptation alimentaire

La perte d’appétit est une réaction spontanée de l’organisme : dans le règne animal, un animal malade jeûne automatiquement ; le bébé touché par la fièvre lors des poussés dentaires repousse systématiquement sa bouillie et même le sein de sa mère.

La digestion demande un effort important que le corps n’est pas forcément apte à produire en ces moments. Il faut donc diminuer son apport alimentaire et supprimer autant que possible les aliments les moins digestes : produits laitiers, viandes, sucres raffinés, produits transformés. Les soupes, jus de fruits non-acides et compotes sont parfaits dans ces situations.

Le retour à l’alimentation normale se fera progressivement jusqu’à la fin de la convalescence et la perte de poids liée à la réduction alimentaire sera rapidement rattrapée (même chez l’enfant).

 

Calme, repos et amour : des alliés de choix

Le repos et le calme sont indispensables pendant la convalescence. Si c’est possible, il ne faut pas hésiter à arrêter de travailler. Les activités doivent être choisies en fonction : télévision, jeux vidéo, coups de téléphone à répétition ou autres activités trop stimulantes doivent être bannies au profit de la lecture, de la musique ou du sommeil.

Pour les petits patrons ou les employés qui ne se permettront pas de congés maladies, il faudra impérativement se forcer à faire de longues nuits au calme.

L’amour et les traitements de faveur seront profitables au malade : un adulte malade appréciera un massage ou un petit déjeuner au lit alors que l’enfant malade pourra faire des siestes en journée dans le lit de papa et maman. Malheureusement, le quotidien ne permet pas toujours une pratique idéale de l’amour fou mais les faits précédemment cités apportent une sécurité affective non-négligeable pour la plus rapide des guérisons.

 

Une pharmacie naturelle

Même si la guérison classique ne demande pas d’intervention spécifique, elle peut être accélérée par des remèdes peu intrusifs.

Certaines huiles essentielles aident le corps en cas de faiblesse immunitaire (ravintsara, thym thymol), de trouble ORL (origan, eucalyptus), de céphalée (menthe poivrée), de nausée (camomille) ou d’insomnie (lavande vraie) [3].

Le miel, par ses propriétés générales, est un aliment exceptionnel : il calme la toux et les maux de gorge, aide à la digestion en facilitant le travail de l’estomac et supplée aux déficiences.

Les inhalations ou décoctions de plantes s’avèrent évidemment utiles dans les cas de rhumes hivernaux (reine des prés, camomille, verveine, thym… ).

L’argile a des applications diverses et variées ; dans le cas qui nous intéresse, elle peut être utilisée contre les inflammations ou la fièvre en cataplasme avec un linge propre.

 

Conclusion : pas de surmédicalisation, pas d’automédication
mais de l’intelligence !

Les recommandations précédentes sont des recommandations classiques qui peuvent être adaptées par chacun selon ses habitudes, ses rythmes, ses conditions de vie ou ses particularités.

D’une façon générale, les infections hivernales ne nécessitent aucune intervention extérieure. Un peu d’expérience et de bon sens suffisent pour comprendre que certains symptômes sont plus inquiétants que d’autres et qu’une grippe ne doit pas se laisser transformer en pneumonie !

En cas de doute, il est indispensable de consulter un médecin : ils sont souvent bons en diagnostic, vous y apprendrez toujours quelque chose et une fois rassuré, rien ne vous oblige à prendre ses antibiotiques.

 

À bientôt sur aubonsens.fr !

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