“L’utilisation de la vitamine C, aussi bien en tant que complément alimentaire que mesure thérapeutique, rencontre une certaine résistance et génère des croyances souvent dues à une simple manque d’information. Parfois, même quand ces informations existent, elles ne sont que mensonges diffusés à dessein pour discréditer en bloc les vitamines ou pire encore, pour décourager les personnes de prendre davantage soin de leur santé de leur propre initiative.” Stefano Pravato
Au milieu de la multitude d’ouvrages et de témoignages que l’on peut glaner sur internet à propos des vertus de la vitamine C, le petit livre de 128 pages Guérir avec la vitamine C constitue une excellente synthèse des informations nécessaires à la bonne compréhension et à l’utilisation de cette substance non brevetable et indispensable au bon fonctionnement de l’organisme humain.
L’auteur, Stefano Provato, diplômé en physique et expert en médecine orthomoléculaire, a effectué un travail de recherche approfondie au niveau international en s’appuyant sur les travaux d’experts et chercheurs en la matière : le Pr Linus Pauling – prix Nobel de chimie (1954) et fondateur de la médecine orthomoléculaire, le Dr Thomas E. Lévy – cardiologue américain et expert mondial, le Dr Robert Cathcart, le Dr Andrew W. Saul, le journaliste vulgarisateur Bill Sardi…
Il nous offre, dans ce guide pratique, les clés stratégiques pour saisir l’enjeu de santé que constitue cette molécule anti-oxydante essentielle pour l’Homme puisque non synthétisable naturellement du fait d’une mutation génétique ancestrale, tout comme quelques rares animaux (les primates, les cochons d’Inde, une chauve-souris frugivore indienne, un oiseau indien – le bulbul orphée, et quelques espèces de poissons).
Il développe notamment les points suivants :
-la posologie appropriée et les modalités de prise,
-les différentes formes de supplémentation en vitamine C,
-quantité, fréquence, durée,
-les notions de dose ingérée et de quantité absorbée,
-les sempiternelles idées préconçues et obstacles dressés par l’industrie pharmaceutique,
-une chronologie détaillée de la recherche historique sur cette vitamine,
-les maladies traitées.
“En résumé, même si on l’a baptisé “vitamine”, la vitamine C a permis d’obtenir des résultats positifs dans des domaines médicaux si disparates et à des doses si élevées qu’elle aurait dû être promue, dès le début des années cinquante, au rang d’une classe dont elle est l’unique élément. Il n’existe aucune autre substance qui soit aussi active et aussi dépourvue d’effets secondaires. Ainsi, même si on continue de l’appeler “vitamine”, elle est largement sous-utilisée, dosée d’après les quantités réputées nécessaires au début des années trente pour la seule prévention du scorbut.” Stefano Pravato
En complément, l’intervention de Michel Dumestre, naturopathe orthomoléculaire et traducteur-éditeur de l’ouvrage phare sur la vitamine C du Dr Thomas E. Lévy :
Pour information, le Dr Thomas E. Lévy, a été l’un des médecins traitant qui a permis de sauver Allan Smith, ce fermier néo-zélandais atteint en 2008 d’une grippe porcine, d’une pneumonie avancée, de scorbut et d’un début de leucémie. Ce dernier a été pris en charge par une thérapie non conventionnelle de vitamine C à haute dose par voie intraveineuse supervisée par le Dr Thomas E. Levy, ce traitement innovant que la famille du patient a réussi à imposer aux autorités sanitaires néozélandaises de l’époque.