« Le présent ouvrage, fruit d’une quarantaine d’années de recherches et d’investigation, est une suite logique de mes ouvrages précédents : l’exposition du contrôle international de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d’organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique ; les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, à la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. »
Ainsi débute Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé, où l’auteur décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.
Eustace Mullins (1923-2010) est un essayiste américain et activiste politique. Il travailla comme chercheur à la bibliothèque du Congrès, puis comme rédacteur dans plusieurs revues et journaux tout en se consacrant à l’étude de thèmes majeurs, comme la banque, l’ordre mondial ou l’histoire de la bombe atomique. Ami du poète Ezra Pound, c’est sous son impulsion qu’il s’attaqua à son premier ouvrage dénonçant la puissance d’intérêts privés dans la sphère publique, Les Secrets de la Réserve fédérale.
Arno –
Édifiant !
L’auteur, nous rapellant un certain professeur, édite dans ce livre passionnant les preuves et le cheminement de l’accaparement de la santé au profit de forces financières.
Cette enquête approfondie, découvre ceux qui ont permis cette spoliation.
Le parallèle s’impose de lui-même avec notre époque et nos dirigeants.