La physique quantique amène une nouvelle dimension, qui scelle la complémentarité des médecines « conventionnelles » et « naturelles ». Un renouveau scientifique et un espoir pour les patients.
Intervenants :
• Philippe Bobola : Docteur en chimie physique, biologiste (3e cycle), anthropologue et psychanalyste adlérien, Philippe Bobola est également membre de l’académie l’American Association for the Advancement of Science et de l’American Chemical Society, de l’Académie européenne des sciences des arts et des lettres, et de l’Académie des sciences de Lausanne. Il a également été chargé de cours en anthropologie à l’hôpital Bicêtre et à l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
Il dirige également une équipe de biophysique au Laboratoire de bio-informatique et biotechnologie et il est conférencier en France et à l’étranger sur l’environnement, l’écologie, les médecines alternatives et la population scientifique. Il est également auteur de nombreuses publications en physique, biologie et biophysique. Depuis dix ans, il anime des formations sur la Nature secrète du temps, l’art et la science, le stress, les dépendances, l’intuition, l’eau comme élément de transmutation, etc.• Béatrice Milbert : médecin homéopathe, docteur spécialiste en médecine intégrative, maladie de Lyme et électro-hypersensibilité, présidente et fondatrice de la fondation IRIM (Recherche indépendante sur la médecine intégrative).
Extrait : Philippe Bobola : “Si on commence à raisonner en terme de physique quantique plutôt qu’en physique classique, il y a une propriété essentielle qui va être le fil conducteur de notre exposé. C’est qu’un objet quantique – alors j’appelle un objet quantique, une particule qui est plus petite qu’un atome, qui est contenu dans l’atome, ou l’atome lui-même, les molécules et même les cellules –, ces objets quantiques ont une double dimension : une dimension corpusculaire et une dimension vibratoire simultanément. Donc revisiter la médecine avec la physique quantique sert à donner au vivant une dimension supplémentaire qui est la dimension vibratoire.
Soigner un corps vibratoire par la vibration, ce n’est pas un raisonnement ésotérique, occulte, paranormal, c’est tout simplement cohérent. Et donc on peut utiliser différentes ondes, les ondes acoustiques, les infrarouges, on utilise même en médecine allopathique les UV, à une époque le traitement du psoriasis se faisait avec les ultraviolets… Qu’est-ce que la radiothérapie si ce n’est que d’utiliser des rayons gamma… ou les rayons X.
Vous voyez bien qu’on utilise la vibration mais on n’a pas étendu le champ d’application de la vibration en dehors de la radiologie, c’est cela qui est assez curieux, c’est pour cela que je parle d’une sorte de « schizophrénie »…“